Le festival investit un stade entier; par conséquent, la programmation est riche. Chaque espace est géré par une équipe autonome et fait la part belle à l’un ou l’autre des domaines touchant au journalisme.
Revenez fréquemment sur cette page, car elle sera mise à jour au fur et à mesure du dévoilement de la programmation!
Au pied des vieux gradins chargés d’histoire, se dressera une scène qui accueillera des conférences sur les enjeux majeurs qui agitent la profession.
Journalisme et
humour, objectivité, vérité, intelligence artificielle, nouveaux publics, littérature, diversité… what else?
Si la liste des défis qui se posent à la profession est longue, les occasions d’en discuter entre professionnels sont rares.
Sous une tente dressée sur la pelouse mythique du FC Bienne, des tables rondes permettront d’aborder des thèmes comme le financement des médias ou la frontière entre journalisme et militantisme. Une large place sera laissée aux interventions du public.
Un espace pour évoquer la situation des journalistes à travers le monde, proposé par Reporters sans frontières Suisse, la Fondation Hirondelle, le Club suisse de la presse, l’Union internationale de la Presse Francophone et le Press Emblem Campaign.
Quatre rencontres autour d’un fil rouge: la difficulté d’informer en zones de crise (Gaza, Russie, Ukraine occupée, Sahel).
La scène documentaire du Presstival propose une sélection pointue de trois films qui placent le journalisme et les journalistes au cœur de leur narration. Cette programmation explore différentes facettes du métier, de l’investigation personnelle au reportage de guerre, en passant par la couverture de l’actualité en contexte de répression.
Chaque projection est suivie d’une séance Q&A en présence des réalisateurs.
La petite salle obscure de la radio associative du stade se transformera en royaume du podcast. Cinq moments d’écoute collective suivis d’une discussion avec celles et ceux qui les ont réalisés.
Une programmation entièrement suisse, avec des créations de la RTS, Le Temps, Terre & Nature, Chahut média et Reportage.
Sur les murs en béton brut de la galerie sud, la photo de presse sera à l’honneur. Les visiteurs découvriront une exposition thématique, proposée par les Photojournalistes suisses (section des photographes d’impressum), et les professionnels pourront s’y rencontrer pour échanger.
Une masterclass sur le droit à l’image dans le quotidien du photojournaliste sera également proposée pendant la journée.
La cabine, construite par des ingénieurs farfelus à l’autre bout du terrain, accueillera une exposition sur le dessin de presse. Certains des meilleurs crayons de la profession seront ainsi mis en avant.
Bien plus qu’un lieu d’exposition, cet espace proposera également un quiz, une table ronde sur le rôle de la satire dans l’information (proposée par Vigousse) et un concours pour dessinateurs en herbe avec des prix alléchants à la carte.
Nichée au dernier étage de la tribune nord, on trouvera dans cet espace le terrain de jeu des petits médias.
L’idée? Faire découvrir au public des publications émergentes, des titres spécialisés, et une sélection d’ouvrages récents. Ce sera aussi l’occasion d’une interaction entre auteurs et (futurs?) lecteurs.
Sorte de grand salon du livre médiatique, le gazon central accueillera des stands qui permettront aux visiteurs d’aller à la rencontre des organisations, syndicats et associations qui font vivre la profession, mais aussi de certains grands médias romands.
La journée y sera rythmée par des interventions et workshops utiles tant à la profession qu’au grand public.
À quoi sert le journalisme sans celles et ceux à qui il s’adresse? Aujourd’hui plus que jamais, il est essentiel de retisser des liens forts entre les médias et leur public.
C’est pourquoi, à l’entrée du festival, nous proposons un espace vivant dédié à la participation, à l’échange et à l’expérimentation.